Agrippine Tome 8 - Agrippine déconfite

Pagination 48 pages
Prix 13,99 €
Format 243x320
EAN 9782505000556
Genre
  • Humour
Public
  • Ado-adulte - à partir de 12 ans

Résumé Agrippine tome 8

Entre deux albums (le dernier, Allergies, est paru en 2004), on se demande toujours ce que Bretécher va nous tricoter. Voilà, c'est fait et c'est du costaud. Agrippine, dont on connaît le talent pour faire tourner les autres en bourrique, est dépassée cette fois. Ses parents vont divorcer (ça leur réveille la libido) ; Biron attaque sa période travelo et se trimballe en soutif ; Zonzon, son AGM (arrière-grand-mère et non « aïeule génétiquement modifiée ») se barre dans son monde et la laisse à la porte. Et puis, en dehors du fait que le Vélib est un instrument récalcitrant, voilà qu'une chose pas vivable, inconcevable, débarque dans son univers d'adolescente plutôt préoccupée par l'acquisition du dernier truc divin qui « coûte la peau » - des boots en tatou tressé. Cette chose pas vivable, c'est la mort. Sujet délicat s'il en est, que Bretécher traite avec une détresse à fleur de peau, une pudeur et une drôlerie (oui) décidément imbattables. Un grand album.

Pagination. 48 pages
Prix. 13,99 €
Format. 243x320
EAN. 9782505000556

Résumé Agrippine tome 8

Entre deux albums (le dernier, Allergies, est paru en 2004), on se demande toujours ce que Bretécher va nous tricoter. Voilà, c'est fait et c'est du costaud. Agrippine, dont on connaît le talent pour faire tourner les autres en bourrique, est dépassée cette fois. Ses parents vont divorcer (ça leur réveille la libido) ; Biron attaque sa période travelo et se trimballe en soutif ; Zonzon, son AGM (arrière-grand-mère et non « aïeule génétiquement modifiée ») se barre dans son monde et la laisse à la porte. Et puis, en dehors du fait que le Vélib est un instrument récalcitrant, voilà qu'une chose pas vivable, inconcevable, débarque dans son univers d'adolescente plutôt préoccupée par l'acquisition du dernier truc divin qui « coûte la peau » - des boots en tatou tressé. Cette chose pas vivable, c'est la mort. Sujet délicat s'il en est, que Bretécher traite avec une détresse à fleur de peau, une pudeur et une drôlerie (oui) décidément imbattables. Un grand album.